Dans les départements ruraux comme le nôtre, l’accession à la propriété est plus courante que dans les zones citadines qui favorisent la location. De ce fait, en 1990, trois résidences principales sur quatre sont des maisons individuelles dont 60 % sont habitées par leur propriétaire. Le logement en immeuble ne représente quant-à-lui que 20% des résidences principales.

Du fait de la baisse globale de la population meusienne, le nombre de constructions récentes est faible. De ce fait, les logements individuels sont en moyenne plus ancien qu’en France, de même que le confort des habitations est généralement inférieur à la moyenne nationale.

En ce qui concerne les résidences secondaires, elle ne représentent que 6 % des logements et ont une répartition diffuse sur tout le département, avec un léger plus pour la vallée de la Meuse qui présente un certain attrait.